Derniers commentaires

5 étoiles pour une initiative plus qu'originale !
Pas de texte dans cette BD, mais des pictogrammes bien à leurs places...
Pour expliquer ... Ce que l'on peut deviner par le dessin.
Mais c'est plus drôle ainsi.
Juste comme il faut pour tout comprendre, rire et sourire.
Un véritable moment d'humour vraiment très bien foutu.
C'est fluide. Très bien scénarisé.
Étonnant !

Deuxième tome du Lucky Luke à la sauce Matthieu Bonhomme.
On retrouve une forme d'hommage aux premières heures de la série, avec quelques personnages que les plus grands fans n'auront pas oublié. On sent bien toute le respect de l'œuvre de Morris, avec une touche un peu plus adulte. On est beaucoup moins dans l'humour et plus dans le premier degré. Ce premier degré ne gâche rien. Je préfère largement qu'on prenne un personnage pour en faire autre chose, plutôt que d'imiter (mal) un style pour essayer de maintenir des ventes.

Pour les personnes qui aiment Vives, on retrouve bien son univers.
J'ai trouvé que le scénario était un peu "léger". Le mot est trop fort, mais je ne trouve pas mieux, désolé! je veux dire qu'il manque de rebondissements de relances dans l'histoire qui est finalement assez linéaire.
Vives décrit l'univers de la BD à travers le festival d'Angoulême ou un auteur va rencontrer une femme qui accompagne son mari en dédicaces.
Le personnage du mari est dessiné de façon particulière. Il m'a fait penser à Largo Winch :-) ce n'est pas habituel d'avoir des personnage aussi "dessinés" chez Vives. Le reste du dessin est tout à fait dans son univers graphique.
Sinon l'histoire est comme souvent touchante, Vives a l'art de raconter les histoires à travers des détails qui peuvent paraitre anodins, mais qui donne une ambiance et au final raconte parfaitement les émotions et les instants. C'est ce que j'aime chez cet auteur.
Pour ceux qui ne connaissent pas Vives, laissez les polémiques de côté et découvrez cet auteur formidable!

Je mets deux étoiles, une par gags qui m'ont vaguement fait sourire.

Après le coup de tonnerre du tome précédent, l'heure est à l'assimilation des nouvelles données.
Face à la barbarie, on voit réapparaître d'anciens mécanismes que l'on pensait effacé depuis que Negan avait été neutralisé.
La tension monte de manière graduelle, et les différents leaders ont toutes les peines à garder les liens qui donnent à leur communauté l'aspect d'une société humaine.

Une analyse remarquable, comme dans les premiers tomes de la série, de la psychologie de masse face à des épreuves qui sortent de l'ordinaire.

Une nouvelle aventure mêlant récit épique et humour.
Aidé par un graphisme arrivé à maturité, cette série plaisante continue sur sa lancée. Un histoire qui nous embarque de manière très convainquante dans cette quête dichotomique.
On est face un classique de la bd d'heroic fantasy.

Le sauveur est de retour. Le problème est qu'ils sont sept et sont donc appelés les Jésis. Ils ont malheureusement tendance à disparaitre les uns après les autres sous les coups de fanatiques. Mais les choses ne sont pas si simples et c'est tout l'intérêt de ce scénario riche en rebondissements. Nous assistons en filigrane à une critique acerbe du business des religions évangélistes et des extrémismes fondamentalistes. Le tout est porté par un dessin très nerveux et sophistiqué de Lee Jae et bénéficie d'un splendide travail sur le découpage des cases. Seven sons est un bel exemple du dynamisme des comics indépendants

La psychologie des personnages prend une très grande place (voir toute la place) de cet opus. Les auteurs prennent le temps de sonder chaque personnage, leur donne de la profondeur, et les positionnent les uns par rapport aux autres avec beaucoup de finesse et d'à propos.
Mais que dire du final !!!!
Une montée en puissance fulgurante, un storyboard éclaboussant de talent et découpage éblouissant pour nous asséner une conclusion étourdissante.

Superbe album qui réédite la série post apocalyptique de Crespin. Parue initialement dans Métal Hurlant pour les albums Marseil et Armalite 16, la série n’était plus disponible depuis longtemps. Cette intégrale en grand format permet de savourer le trait élégant et fragile de Crespin, le travail sur la couleur et la complexité du scénario. Un grand classique de la BD qui méritait vraiment une édition de qualité.

Sans doute un des meilleurs tomes depuis le début de la série, si pas le meilleur.
Le rythme des différents intrigues qui évoluent en parallèle, s'entrecroisent et influent les unes sur les autres est une preuve de plus du talent des auteurs.
Le découpage de chaques intrigues, qui nous laisse sur un Cliffhanger pour enchaîner sur une autre intrigue qui elle-même était au paroxysme du suspense, fait de cet épisode un vrai page-turner.

En deux tomes, les auteurs arrivent à relancer un nouveau cycle avec panache et de manière très convainquante.
Du grand art !