SODA

Quelles sont vos théories sur les 3 doigts de notre cher David SOLOMON?

Pensez-vous que la mère va savoir s'il est policier?

Que va-t-il se passer si elle meurt?

Etc

Sa mère ne va jamais mourir, comme elle ne saura jamais que David est flic.
C’est forcé, puisque c’est l’élément de base de l’intrigue.
Le dessinateur a changé, mais pas le scénariste, un argument de plus pour la stabilité...

Les 3 doigts, je ne suis pas sûr de deviner de quoi il est question : un salut, une bénédiction ?
Si l’image me dit vaguement quelque chose, ce n’est pas récurent dans la série.

Sinon, pour sa première contribution, le dessin de Dan est moins agréable que celui de Gazotti, la faute au trait trop vif.
Les fonds de décors sont par contre un peu mieux détaillés, ou moins épurés, c’est selon... ;-)

On sait que quand il s'est engagé dans la police il avait tous ses doigts. On relate dans un album un accident où il aurait perdu ses doigts et il y a une petite zone d'ombre sur le décès de son père je pense mais pour ça je devrais relire les albums

En ce qui concerne le dernier tome. Les dessins m'ont aussi un peu déçu. Je trouve qu'on ressent la rapidité de la fabrication de l'album. Espérons que la suite soit mieux faite et aussi qu'on ne doive pas attendre trop d'année entre les deux.

Mais ce qui serait chouette c'est de faire une sorte d'album "What if". Et de voir ce que deviendrait SODA si sa mère meurt ou si elle apprend son vrai métier etc.

Pour l'histoire de ses doigts manquants. Sa mère est au courant mais que lui a-t-il raconté?

Il faudrait que je relise toute la série pour trouver le passage dont tu parles.
D’habitude, il fait signe avec 2 doigts, ou 3 avec le pouce, et aucun doigt vide ne se remarque dans ses gants.
Pour ta suggestion de "what if", il me semble qu’on en a déjà eu quelques flashes dans ses nombreux cauchemars.
Il serait possible de concevoir un album essentiellement constitué de flash-back et de cauchemars pendant un coma prolongé en réanimation.
La ficelle a déjà un peu servi, pas trop, car c’est difficile de caser tous les détails d’une intrigue policière en 48 pages...
Si on veut supputer davantage, pourquoi ne pas imaginer un mariage avec Linda, et l’irruption d’une gamine chanteuse de gospel, à qui apprendre le maniement des armes...